Le pont des soupirs... de plaisir.
Comme le titre l'indique, je fais le pont!
Me voilà embarquée dans un long week-end (c’est un bonheur que le 14 juillet tombe un jeudi cette année et profitons-en, l’année prochaine, ce sera un samedi ! Merci à toi, 29 février !).
Je l’imagine festif, chaleureux et nonchalant ce week-end. Il correspond bien au besoin que j’ai depuis quelques semaines de ne plus me perdre dans des gesticulations inutiles, d’aller à l’essentiel, d’apaiser mon Moi profond englué dans un mélange de pessimisme, d’angoisse et d’hyperactivité stérile.
J’apprends à me pardonner mes erreurs, à ne plus être une victime consentante de mon perfectionnisme exagéré et à faire preuve de tolérance. Et cela passe par une bonne dose d’indulgence et la nécessité de baisser la barre de mes prétentions pour qu’elles deviennent enfin franchissables (je suis la spécialiste des rêves irréalisables qui donnent un arrière goût de vie ratée).
C’est aussi dans cette optique (de voir la vie en rose au lieu de broyer du noir) que j’ai pris le parti d’alimenter ce blog de sujets légers, optimistes et drôles (du moins, je l’espère).
Et c’est pourquoi il me tarde de me plonger dans ces 4 jours de bonheur et de me délester de ma veste de rigueur pour enfiler la tenue « je-me-fais-du-bien-y-a-pas-de-honte-à-ça » !
Je te laisse, lecteur, la vie m’appelle !